source : L’Humanité, 12/04/2015
Pour ne pas avoir respecté le contrat de gestion de l’eau de la ville de Buenos Aires, l’Argentine a été condamnée par à verser 405 millions de dollars à Suez-Environnement. Un exemple du danger des tribunaux arbitraux nés des accords commerciaux et d’investissement qui ont pour tâche de subordonner les décisions démocratiques aux règles du libre-échange. Lire.