
par Mathilde Dupré, Institut Veblen, 17/09/2020
La commission d’experts a parlé : hausse annuelle de la déforestation de 5% pendant 6 ans mais en réalité de 25% selon le chiffre retenu par l’Institut Veblen et la FNH, entrée facilitée sur le marché européen de denrées produites avec des pesticides interdits dans l’UE, risque d’affaiblissement des standards environnementaux et sanitaires européens pour des gains économiques très faibles, sans commune mesure avec les dégâts sur le climat et la biodiversité … Sur ces bases, et quel que soit le président brésilien en fonction, la France doit bloquer cet accord. Lire la suite.